Le Printemps
Provence frémissante à l’appel du printemps...
Dès le mois de mars au pied de la "Potimarronne", les prés se couvrent d’un tapis fleuri. Les violettes, les pâquerettes, les pissenlits se mêlent dans un joyeux désordre. Les champs de vignes se réveillent… Les arbustes se couvrent de feuilles tendres, les pétales des premières roses se déplient timidement... Dans la campagne, les fruitiers fleurissent à vue d’œil… Mais ce que vous n’oublierez pas, si vous êtes ici au mois de mai, c’est l’immense voile de mariée qui se pose sur la plaine, lorsque les innombrables cerisiers qui la couvrent se parent d’une multitude de fragiles et légères fleurs blanches au parfum sucré. Les abeilles s’y donnent rendez-vous et follement butinent leur nectar, contribuant fidèlement à la pollinisation des arbres et préparant en secret dans leurs ruches, un miel délicieux. Les étals des marchés sont rouges de cerises charnues et sucrées dès le mois de juin.
D’avril à juin, les premières belles journées s’adressent particulièrement à tous ceux qui aiment : "…le silence, la solitude, la marche des ombres et de la lumière sur la terre, la violence, la douceur du vent, le parfum de l’air, la pureté de l’eau, l’écho des vallons, le divin désarroi de l’intelligence devant les choses simples…’’ Jean GIONO ( poète de Manosque)
Les possibilités de randonnées qui sillonnent le Pays et en particulier le Parc Naturel Régional du Luberon, dont Villars fait parti, ont leur départ à quelques Km de la "Potimarronne". Sur une étagère de la maison, vous trouverez: ‘’L’hôtel des renards ‘’, François MORENAS son auteur, créa la première auberge de jeunesse qu’il appela ‘’Regain’’ en hommage à Jean GIONO. Transformée à présent en habitation privée, elle se trouve tout près de Villars, au creux de la Combe-aux-Geais. On trouve dans ce livre l’origine du balisage des premiers itinéraires de marche .
De nombreux clubs de randonnées ont une activité régulière à cette époque. Il est possible d’être accueilli en invité sur un circuit. Des marches de quelques heures à une journée se retrouvent sur des fiches descriptives mis à disposition en Mairie; n'oubliez pas vos chaussures de marche !.
En solitaire ou à plusieurs, modestes ou grandes promenades… tout est possible, de la plaine au sommet du Mont Ventoux !... Et si vous souhaitez simplement respirer un air délicieusement parfumé, il vous suffira en voiture, de rejoindre le village de Sault à travers les immenses champs de lavande qui fleurissent en épis serrés et odorants dès le mois de juin.
La découverte de la Provence, sur les sentiers de grandes randonnées, est un plaisir au printemps car les températures sont douces, le ciel bleu et le soleil agréable... On se découvre le soir un joli hâle doré sur le visage!. Les quelques courbatures ressenties alors seront vite oubliées et l’envie de repartir le lendemain est assurée:’’ …cet oiseau à chanté pour vous, vous avez été seul à avoir vu cette cétoine pareille à une pépite d’or vert traverser le feuillage de ce fenouil, ces lycènes danser sur cette flaque d’eau, cette couleuvre traverser le chemin, seul à entendre gronder les profondeurs du vallon…’’ Jean Giono.
Avril, mai, juin, vous sillonnerez sac au dos les sentiers bordés de thym, de romarin, de cyste et de genêt; vous découvrirez les bories, les aiguiers, les ruisseaux, le village abandonné de Travignon et plus encore si le cœur vous en dit...
Si un jour ou l’autre, la pluie de printemps s’invitait à la "Potimarronne", un chocolat chaud, des fruits confits et les écrits de Jean GIONO, de Marcel PAGNOL et d’Alphonse DAUDET seraient, à n’en pas douter, de bonne compagnie !.
Dès le mois de mars au pied de la "Potimarronne", les prés se couvrent d’un tapis fleuri. Les violettes, les pâquerettes, les pissenlits se mêlent dans un joyeux désordre. Les champs de vignes se réveillent… Les arbustes se couvrent de feuilles tendres, les pétales des premières roses se déplient timidement... Dans la campagne, les fruitiers fleurissent à vue d’œil… Mais ce que vous n’oublierez pas, si vous êtes ici au mois de mai, c’est l’immense voile de mariée qui se pose sur la plaine, lorsque les innombrables cerisiers qui la couvrent se parent d’une multitude de fragiles et légères fleurs blanches au parfum sucré. Les abeilles s’y donnent rendez-vous et follement butinent leur nectar, contribuant fidèlement à la pollinisation des arbres et préparant en secret dans leurs ruches, un miel délicieux. Les étals des marchés sont rouges de cerises charnues et sucrées dès le mois de juin.
D’avril à juin, les premières belles journées s’adressent particulièrement à tous ceux qui aiment : "…le silence, la solitude, la marche des ombres et de la lumière sur la terre, la violence, la douceur du vent, le parfum de l’air, la pureté de l’eau, l’écho des vallons, le divin désarroi de l’intelligence devant les choses simples…’’ Jean GIONO ( poète de Manosque)
Les possibilités de randonnées qui sillonnent le Pays et en particulier le Parc Naturel Régional du Luberon, dont Villars fait parti, ont leur départ à quelques Km de la "Potimarronne". Sur une étagère de la maison, vous trouverez: ‘’L’hôtel des renards ‘’, François MORENAS son auteur, créa la première auberge de jeunesse qu’il appela ‘’Regain’’ en hommage à Jean GIONO. Transformée à présent en habitation privée, elle se trouve tout près de Villars, au creux de la Combe-aux-Geais. On trouve dans ce livre l’origine du balisage des premiers itinéraires de marche .
De nombreux clubs de randonnées ont une activité régulière à cette époque. Il est possible d’être accueilli en invité sur un circuit. Des marches de quelques heures à une journée se retrouvent sur des fiches descriptives mis à disposition en Mairie; n'oubliez pas vos chaussures de marche !.
En solitaire ou à plusieurs, modestes ou grandes promenades… tout est possible, de la plaine au sommet du Mont Ventoux !... Et si vous souhaitez simplement respirer un air délicieusement parfumé, il vous suffira en voiture, de rejoindre le village de Sault à travers les immenses champs de lavande qui fleurissent en épis serrés et odorants dès le mois de juin.
La découverte de la Provence, sur les sentiers de grandes randonnées, est un plaisir au printemps car les températures sont douces, le ciel bleu et le soleil agréable... On se découvre le soir un joli hâle doré sur le visage!. Les quelques courbatures ressenties alors seront vite oubliées et l’envie de repartir le lendemain est assurée:’’ …cet oiseau à chanté pour vous, vous avez été seul à avoir vu cette cétoine pareille à une pépite d’or vert traverser le feuillage de ce fenouil, ces lycènes danser sur cette flaque d’eau, cette couleuvre traverser le chemin, seul à entendre gronder les profondeurs du vallon…’’ Jean Giono.
Avril, mai, juin, vous sillonnerez sac au dos les sentiers bordés de thym, de romarin, de cyste et de genêt; vous découvrirez les bories, les aiguiers, les ruisseaux, le village abandonné de Travignon et plus encore si le cœur vous en dit...
Si un jour ou l’autre, la pluie de printemps s’invitait à la "Potimarronne", un chocolat chaud, des fruits confits et les écrits de Jean GIONO, de Marcel PAGNOL et d’Alphonse DAUDET seraient, à n’en pas douter, de bonne compagnie !.
Rendez-vous au printemps à la POTIMARRONNE ?
